Club de lecture

Dounia-Joy’s book club, récapitulatif de novembre et thème du mois de décembre !

Ce mois-ci le thème du club de lecture était de faire une chronique  sur « un livre de votre auteur préféré » ou « un avis sur un livre qui vous a mis en colère ». Sans plus attendre, voici le récapitulatif des 7 personnes qui ont chroniqué ce mois-ci, toujours les mêmes fidèles et je vous remercie énormément de votre implication. Merci pour les découvertes livresques et vos articles toujours très intéressants et qui me donne envie de rajouter quelques livres à ma pile à lire qui est sur le point d’exploser encore plus grâce à vous !

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Le Mag Chic & Pratique : Cette blogueuse n’a pas forcément de livres préférés mais elle a lu plusieurs livres du même auteur qu’elle a apprécié. Elle a donc choisi de chroniquer ce mois-ci un livre de l’auteur Gilles Legardinier, intitulé « Demain, j’arrête ». Elle aime cet auteur car selon elle, il pense et écrit comme une femme. Elle a choisi ce livre avec le titre et la couverture qu’elle a trouvé chouette. Elle a adoré le ton humoristique de ce roman. L’histoire de ce livre : « Et vous, quel est le truc le plus idiot que vous ayez fait de votre vie ? Au début, c’est à cause de son nom rigolo que Julie s’est intéressée à son nouveau voisin. Mais très vite, il y a eu tout le reste : son charme, son regard, et tout ce qu’il semble cacher… Parce qu’elle veut tout savoir de Ric, Julie va prendre des risques de plus en plus délirants… ». La blogueuse a beaucoup aimé car les situations cocasses qui arrivent aux personnes, elle s’est pleinement identifiée dedans ! La façon dont est racontée l’histoire lui a beaucoup plu. Et elle a passé un bon moment de rire avec cette lecture !

Le blog d’une ItemLiz Girl : Lisa a aussi choisi de chroniquer sur un livre de son auteur préféré qui est Robert McLiam Wilson. Le livre qu’elle nous présente s’intitule « Eureka Street ». Lisa apprécie beaucoup d’auteurs et elle a choisi celui-ci car à chacune de ses parutions, elle ne peut s’empêcher de se ruer sur ses nouveaux livres sans même en lire le synopsis. Voici l’histoire : « Dans un Belfast livré aux menaces terroristes, les habitants d’Eureka Street tentent de vivre vaille que vaille. Chuckie le gros protestant multiplie les combines pour faire fortune, tandis que Jake le catho, ancien dur au coeur d’artichaut, cumule les ruptures. Autour d’eux, la vie de quartier perdure, chacun se battant pour avancer sans jamais oublier la fraternité ». Lisa aime le style de l’auteur, fluide, drôle et hilarant mais également tendre et sensible. L’humour féroce fait face au terrorisme et à la violence de Belfast et l’Irlande du Nord. L’amour se sent dans le livre, même s’il est parfois sanglant et ravageur. On referme le bouquin le cœur arraché mais plein d’amour pour cet endroit fascinant. Selon Lisa, Robert McLiam Wilson possède une plume atypique, un humour, un rire, une élégance naturelle et ce côté irlandais délicieux pour toute personne ayant un lien particulier avec cette belle île.

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Ma vie, mes humeurs : Jasmine n’a pas d’auteur préféré alors elle a choisi de chroniquer sur l’auteur qui l’a fait apprécié les polars et il s’agit de Patricia Cornwell. « Des cadavres, Kay Scarpetta en a vu beaucoup dans sa carrière de médecin-légiste. Souvent démembrés, découpés, étranglés.. Mais elle n’en avait pas encore vu dont la peau présente, en signe distinctif, les symptômes de la même maladie. Une maladie depuis trente ans éradiquée la planète ! Qui est donc Mordoc, tueur en série, assez audacieux pour se présenter à Kay sur l’internet, assez diabolique et assez fou pour propager un virus mortel ? » Jasmine a apprécié car le suspens est au rendez-vous, le livre est haletant et on ne devine pas le dénouement au bout de dix minutes. C’est un bon thriller et tous les personnages sont attachants et intéressants. Jasmine souligne tout de même le fait qu’au fil des lectures de cet auteure, Patricia Cornwell n’arrivait plus à faire évoluer ses personnages. Mais elle reste pour elle la reine incontestée du polar !

Tinalakiller : Tina m’a envoyé sa chronique par mail. Elle a choisi d’évoquer un livre de son auteur préféré du moment et il s’agit de Nick Hornby. Le roman s’intitule « Haute fidélité ». « Disquaire à Londres, Rob vient de se faire plaquer. À trente ans passés, il doit se rendre à l’évidence : s’il maîtrise le répertoire de Dylan, il n’a jamais rien compris aux femmes. Serait-il passé à côté de l’essentiel ? Depuis son premier flirt autour d’un bac à sable à cette nuit avec une chanteuse country, Rob dresse le top ten de ses ruptures les plus déprimantes et une compilation désopilante des états d’âme de l’homme moderne. » Tina s’est beaucoup reconnue dans le personnage principal avec son obsession à faire des tops de tout et surtout sa passion pour la musique et le cinéma, passions qui lui permettent de combler quelque chose qui manque à sa vie. L’écriture est une belle mélodie et le personnage principal, Rob est imparfait, égoïste, immature, qui croit tout connaître de la musique par sa collection de vinyle et du fait qu’il bosse dans ce milieu. Mais ses petites imperfections font qu’on s’attache à ce personnage qui fait preuve de beaucoup d’humour et d’autodérision !

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Les délices de Corylus : Corylus n’ayant pas d’auteur préféré, elle a choisi de chroniquer un livre d’un auteur qu’elle n’avait jamais lu auparavant et dont elle a apprécié l’ouvrage, intitulé « Lydia Cassat lisant le journal du matin ». Ce roman a été écrit par Harriet Scott Chessman. « Paris, 1878: les Impressionnistes s’exposent. Parmi eux, Mary Cassatt, une impétueuse peintre américaine, est remarquée par la critique pour ses nuances délicates. Au cœur de son travail, sa sœur Lydia. Cette jeune femme, dont le teint clair et les cheveux auburn illuminent les tableaux de Mary, est la narratrice du roman intimiste de Harriet Scott Chessman. Nous la suivons dans ses pensées, tandis que sa santé décline inexorablement et que s’élaborent les plus célèbres œuvres de sa sœur… Voyage poignant au cœur d’une relation complexe, celle d’un peintre à son modèle, Lydia Cassatt lisant le journal du matin est aussi l’évocation de femmes éprises d’indépendance, dans l’effervescence artistique du Paris de la fin du XIXe siècle. » Corylus s’est d’abord demandée si ce livre proposé par sa librairie allait lui plaire. Le sujet est traité de manière fluide et agréable. Le livre retraçant la vie de Lydia est scindé en 5 parties auxquelles correspond également 5 tableaux avec feuillets en couleurs qui nous permettent d’admirer également la narratrice à travers les yeux et les peintures de sa sœur. Malgré la maladie de Lydia, l’ensemble est léger et lumineux comme les touches de peintures sur les toiles. Corylus a apprécié cette douce lecture.

Ecrire pour un rien, pour un tout : Cécile a eu beaucoup de mal a trouvé un auteur préféré tellement elle en apprécie. Elle a choisi tout de même Mary Higgins Clark et de chroniquer sur son célèbre roman « Nous n’irons plus au bois ». « Laurie Kenyon, une étudiante de 21 ans, est arrêtée pour le meurtre de son professeur. On a retrouvé ses empreintes partout, y compris sur l’arme du crime, tout l’accable, même si Laurie ne se souvient de rien. Sarah, elle, refuse de croire que sa sœur est coupable. Aidée par un psychiatre, elle va peu à peu faire revivre le terrible passé de Laurie qui seul peut expliquer le présent : son enlèvement à 4 ans, les violences subies, les troubles graves de la personnalité qu’elle a développés depuis, mais dont elle ne s’aperçoit pas. Et tandis que Laurie tente de retrouver ses souvenirs, un homme au regard fou n’a pas oublié la petite fille qu’il avait passionnément aimée plusieurs années auparavant. » Pour Cécile, ce roman est un chef-d’oeuvre de thriller psychologique tellement il est mené avec une subtilité rare, impitoyable et que le suspens est haletant et insoutenable. L’intrigue est fascinante et l’héroïne, Sarah est une femme forte qui va tout faire pour combattre les démons de sa soeur et la sortir de cette situation inextricable. Malgré ses baisses de moral, Sarah reste forte et courageuse et rebondit toujours. Laurie, sa soeur, justement est traumatisée par son kidnapping à l’âge de 4 ans et on sent qu’elle veut s’en sortir. Les actes perpétrés sur elle ne sont pas décrits mais suggérés ce qui leur donne une dimension plus forte selon Cécile. On sent l’amour existant entre les deux soeurs. Cécile aime les livres de Mary Higgins Clark car elle sait que l’héroïne s’en sort toujours et trouve l’amour. L’auteur ne décrit pas les scènes de sexe mais en revanche les vêtements ainsi que les repas. Le style est simple et incisif, les phrases sont courtes et le suspens est là !

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Poussières de bonheur : Ophélie a décidé ce mois-ci de chroniquer « 22/11/63 » écrit par Stephen King. Et encore une fan de thriller dis donc ! « 2011. Jake Epping, professeur d’anglais à Lisbon Falls, n’a pu refuser d’accéder à la dernière requête d’un mourant: empêcher l’assassinat de Kennedy. Une fissure dans le temps va l’entrainer dans un fascinant voyage dans le passé, en 1958, l’époque d’Elvis et de JFK, des Plymouth Fury et des Every Brothers, d’un taré solitaire nommé Lee Harvey Oswald et d’une jolie bibliothécaire qui deviendra le grand amour de Jake, un amour qui transgresse toutes les lois du temps… » Dans un premier temps, ce livre a rebouté Ophélie, bien qu’elle possède la plupart des romans de cet auteur, par son côté science-fiction. Ses amis lui ayant indiqué que ce côté était léger, elle a donc décider de s’y plonger ! Le voyage dans le temps pose des questions vitales au récit mais cet élément reste cependant un détail et l’histoire principale reste celle de Jake Epping. Les moments les plus forts ne sont pas ceux qu’ils cherchent à modifier mais ceux de sa vie de 1958. Ophélie a aimé ce livre car les personnages sont attachants et très réaliste. Ainsi que pour le fait que le récit fictif se mélange bien aux faits et personnage réels du moment de l’histoire passée. Il y a un véritable intérêt à l’histoire réelle par les nombreux rebondissements. On sent le côté nostalgique de l’auteur pour cet époque à laquelle il s’est très bien renseigné. Dans ce bouquin, Stephen King n’échappe pas à sa propre règle de faire plusieurs clins d’œil à ses précédents romans, ce qui fait sourire le lecteur qui pourra s’en remémorer. Pour conclure, Ophélie parle d’un roman d’ampleur qui prend à « rebrousse temps » et nous fait vivre une histoire d’amour au milieu d’une uchronie bien particulière.

Voici donc les thèmes de Décembre :

1 -« Un livre jeunesse / young adult». Petite définition : « Très en vogue ces derniers temps, la littérature young adult s’adresse en premier lieu à un public d’adolescents et de jeunes adultes, mais attire aussi des adultes plus âgés et couvre tous les genres, mais plus particulièrement les genres fantastiques ». En gros, un roman pour ados apprécié aussi par les adultes ! Vous n’êtes pas obligés de partir dans le genre fantastique. Choisissez le livre que vous souhaitez, que vous aimez et qui répond à ce critère et faîtes une chronique sur ce bouquin. Donnez envie aux autres participantes de lire ce livre si elles ne le connaissent pas et si elles n’aiment pas ce genre !

2- ou alors :  « avis sur un livre choisi uniquement à sa couverture ou à son titre sans avoir lu le résumé ni savoir de quoi il parle ».

A très vite ! Et n’hésitez pas à utiliser la bannière pour vos articles ! Merci !

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